L’étudiant étranger qui, après des études dans son pays d’origine et s’être établi dans un secteur précis, s'inscrit dans trois universités françaises (Lille, Caen et Bordeaux) entache son projet de cohérence. Cette incohérence est renforcée par l’absence de lien avéré avec la formation initiale de l’intéressé. L’insuffisance des moyens d'existence (5000 euros) au regard de la durée des études projetées justifie également le refus de visa (CE, 5 mai 2006, M. Mohamed A, req. n° 282969).
Commentaires